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Le poète du 31ème millénaire

8 novembre 2009

Un parc sous la lune

Un vieux son pop, un nouveau son rock

Un peu de sel, beaucoup d’eau de mer

J’attends qu’on vienne faire toc toc

A la porte de mon âme amère

Et si on était fait l’un pour l’autre

Est-ce que nous serions mauvais apôtres

Ou serions-nous trop bon pour aimer

C’que nous sommes depuis l’été dernier

Et s’il fallait le faire pourrions-nous

Débarrasser nos âmes de cette boue

Dans laquelle nous a plongé la vie

Et les états d’âme de l’infini

Nous ferons découvrir la vertu

Des récifs qui repoussent l’amour

De notre lamentable nature

Un saxophone, une guitare rock

Et c’est notre musique qui débloque

Il nous faut appuyer sur le frein

Pour entamer en chœur le refrain

Et c’est un dim dam doum qui enchaine

Quand notre musique se déchaine

Dans ce vague terrain je divague

Et je viens me frotter à des vagues

Tout un coup tes cordes se désaccordent

Et je lutte pour que tu m’accordes

Aux accords qui font ta mélodie

J’me trouve dans un état d’amnésie

Quand tu te rappelles nos querelles

Et toutes ces anciennes rébellions

Où conduisait l’éclat de nos voix

Un vieux son pop, un nouveau son rock

Et ceux sont les cloches qui s’entrechoquent

Sous les à-coups des derniers mariés

Qui ne le seront plus dans l’année

Et pourquoi ne pas faire comme eux

Ne pas tenter une année à deux

Je m’enflamme à ton moindre regard

Et je suis hagard dans le brouillard

Dans lequel tu as perdu mon âme

Depuis la fête de la sainte Anne

N’écoute plus ce cœur qui délire

Et toi comment tu peux tant en rire

Alors que c’est pour toi qu’il se noie

Dans ce monde infini de passion

Un vieux son rock, un nouveau son pop

Je suis si petit quand tu es là

Et mon cœur fait des tas de flop flop

Depuis que tu es partie là-bas

Je suis fébrile et donc je défibre

Les files qui me relient à tes fibres

Et c’est toute à la cause de ça

J’ne dis pas qu’tu manque ici et là

Les états d’âme par où je passe

Sont l’un des signes que je suis las

De ton absence depuis décembre

Tu as délaissé mon âme en limbes

Depuis j’essaie de recomposer

L’homme qui a su t’apprivoiser

Un piano-bar, une guitare rock

Et c’est notre musique qui débloque

Il nous faut appuyer sur le frein

Pour entamer en chœur le refrain

Et c’est un dim dam doum qui enchaine

Quand notre musique se déchaine

Dans ce vague terrain je divague

Et je viens me frotter à des vagues

Tout un coup tes cordes se désaccordent

Et je lutte pour que tu m’accordes

Aux accords qui font ta mélodie

Dans ce bar nous jouons au piano

A quatre mains l’océan pacifique

Et ce refrain qui nous mystifie

Un piano-bar, je t’écris en vers

Que dans ce bar plus rien ne me plait

Mon âme sœur est meilleur adversaire

Elle me dit que tout je le sais

Et je ressens surtout comme elle m’aime

Ca me fait l’effet d’une boule de neige

En un sourire elle peut changer

Le moral d’une chorale d’amitié

Mes états d’âme deviennent roses

Dans ce décor qu’elle veut grandiose

Elle me fait mettre un genou à terre

Dans ce petit bar à carreaux bleus

Elle fait ce qu’il faut pour me plaire

Et elle m’enlace au bout d’une laisse

Un vieux son pop, un parc sous la lune

Et mes illusions se mettent à nue

Et quand le soleil passe la dune

Son ombre me poursuit dans la rue

C’est son vague qui me retient

Et vient résonner avec le mien

L’or est à moi mais elle a niée

Et elle m’a envoyé promener

Avant de s’évaporer dans l’air

Et d’me laisser seul dans ma galère

Chaque fois je fonds et tout se confond

Et quand elle revient je m’enflamme

Et chaque fois je prends feu en larmes

Quand elle revient pour m’abuser

Un vieux son pop, un nouveau son rock

Et c’est notre musique qui débloque

Il nous faut appuyer sur le frein

Pour entamer en chœur le refrain

Et c’est un dim dam doum qui enchaine

Quand notre musique se déchaine

Dans ce vague terrain je divague

Et je viens me frotter à des vagues

Tout un coup tes cordes se désaccordent

Et je lutte pour que tu m’accordes

Aux accords qui font ta mélodie

J’me trouve dans un état d’amnésie

Chaque fois j’oublie ce que je souffre

« Je ne t’aime pas mon amour »

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7 novembre 2009

Un baiser

J’attends que tu viennes me trouver

Il est hors de question de bouger

Si un jour tu passes à mes cotés

Sache que c’était ma destinée

Je t’attends avant de disparaitre

Au coin de la rue où nous étions

Depuis longtemps amoureux peut-être

Avant d’étreindre nos désillusions

Je t’attendrai encore longtemps

Et encore plus s’il nous le faut

Je t’ai déjà attendu tellement

Que je peux t’imaginer dans l’eau

Et enfin tu as su me trouver

Mais le train a pris sa course folle

Je t’envoie comme un premier baiser

Qui se perd dans ton esprit frivole

7 novembre 2009

Quelque part où que tu ailles

Emmène-moi avec toi

Quelque part où que tu ailles

Et j’épouserai tes pas

Emmène-moi sur ta route

Ton pas guidera le mien

Et j’oublierai mes doutes

Sais-tu comme je te désire ?

Seul le soleil t’illumine !

Tes mots étouffent mes rires

Plus fort qu’aucune éclipse de lune

Sais-tu que depuis longtemps

Je ne vois plus que ton ombre

Qui danse la plupart du temps

Devant mes grands yeux aux reflets sombres

7 novembre 2009

Partir gagnant!

Ma chanson ne lui plait pas

Pourtant je pars encore gagnant

Malgré son ombre sur mes pas

Malgré le souffle du vent

Ce soir je ne dormirais pas

Je sens son souffle sur moi

Un sens que je ne connais pas

Son indolence à mon égard

Et j’éclairerais mes pleurs

A sa voix qui me dit non

De mes yeux qui me font peur

Tellement l’eau coule sous ce pont

Il ne me plait qu’elle se refuse

Ainsi qu’un singe en hiver

Je fuis et sous mes pieds s’infuse

Le cri d’un amour qu’on achève

24 octobre 2009

A l'animée

Il y a des millions de cœurs solitaires

Il y a le tien et le mien

Il y a toutes ces âmes qui errent

Seules comme de pauvres refrains

Des vieilles chansons abandonnées

Il y a aussi tous ces amoureux

Qui ont attrapé un coup de soleil

Et qui se regardent dans le blanc des yeux

Et ça brille pareil

Qu’un arbre de Noël tout éclairé !

Il y a encore tous ce mots que je voudrais te dire

Tous ces « je t’aime » restés coincés entre mes poumons

Oh je voudrais tant te voir sourire

Pour moi et te porter en médaillon

Sur mon cœur avec la douce sensation d’aimer et d’être aimer

Il y a enfin tout ce que je n’oserais t’avouer

Te dire par exemple combien tu peux m’attirer

Te dire combien je suis heureux quand tu es à mes cotés

Te dire combien je désirerais que tu puisses m’aimer

Et combien je souhaiterais voir s’unir nos deux cœurs solitaires

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23 octobre 2009

Viens!

Viens et tombe en amour avec moi

Je suis plein de toi

J’ai de l’amour plein les doigts

Et des sentiments à faire un feu de joie

Viens et laisse toi aller avec moi

Je suis plein de toi

Ta présence est un repos

Et qui se répand en moi comme un flot d’eau

Viens et dis-toi que je ne t’oublie pas

Je suis plein de toi

Ton sourire hante ma vie

Et ton rire retentit quand je m’ennuie

Viens et dis-toi que j’suis plein de toi

Et tombe avec moi

Dans l’amour le plus parfait

Et les sentiments sans regret à jamais

16 octobre 2009

Les amants

Une table, deux chaises, deux verres

Deux jeunes gens échangent leurs verbes

Et tout autour d’eux plus rien n’existe

Et il l’écoute, ses mots l’excitent

Inconscient de son moindre désir

Il n’écoute que ses futiles rires

Il boit un peu, entre deux gorgées

Il n’a d’yeux que pour son décolleté

Et la fièvre le prend en lui-même

Son cœur est prêt à dire je t’aime

Une table, deux chaises, deux verres

Deux mains main dans la main se serrent

Et la chaleur empourpre leurs joues

Bientôt la tendresse atteint leurs lèvres

Et les baisers de plus en plus doux

Une tendre sensation de fièvre

Elle est prête à être emportée

Vers une romance échevelée

Elle est transportée en elle-même

Et son corps répond à ses je t’aime

4 octobre 2009

Merci Stephan

Quand tu me serres dans tes bras

Tendrement

Je sens mes yeux se fermés sur toi

Doucement

Et je m’envole de loin en loin

Et de plus en plus loin je ne vois que toi

De partout

Autour de moi il n’y a plus que tes lèvres

Qui m’embrassent

Dans le cou

Je remercie Stephan Eicher

De te faire flotter dans l’air

Comme une hirondelle

A fait le printemps

Tu files mon temps

Quand je me repose la tête

Sur tes seins

Je voudrais que jamais ça ne s’arrête

Dans tes mains

Mes rêves dessinent ton portrait

Je remercie Stephan Eicher

De te faire flotter dans l’air

Comme une hirondelle

A fait le printemps

Tu files mon temps

Quand je me réveille le matin

Doucement

Que j’ouvre un œil sur ton oreiller

Puis les deux

Je vois que tu n’as pas dormi là

Et je bois mon bol de café amer

Tristement

J’hume les restes de ton parfum

Par malheur

Il s’est tout évaporé

Et je remercie Stephan Eicher

D’avoir créer ce courant d’air

Qui t’as fait vivre

De but en blanc

Dans mes délires

23 septembre 2009

Les grands boulevards

Qu’importent les trams, les avenues

Qu’importent les nuages sur mon chemin

Puisqu’aujourd’hui je t’ai vu

Qu’importent les jours, et les années

Qui me séparent encore de toi

Un jour on se retrouvera

Tu ne comprends pas ce que je te dis

Ce n’est pas très grave aujourd’hui

Un jour tu me comprendras

Autant que moi je t’aime déjà

Qu’importent les trams, les avenues

Qu’importent les minutes à ta montre

Je serai exact à notre rendez-vous

Nous serons amoureux fous

28 juillet 2009

La fille que je vois tous les matins

Attendrai-je longtemps ton amour ?

Attendrai-je des nuits et des jours

Voir ton sourire répondre au mien

Et marcher enfin main dans la main

Et depuis longtemps je me prépare

En vain j’espère que le hasard

Fera enfin assez bien les choses

En nous figeant en une même pose

Quand annonceras-tu la sentence

Oh cruelle et terrible impatience

De te voir seulement dans mes songes

Trop de belles nuits où je m’effondre

Quand remarqueras-tu mes regards

Béats d’amour envers des joues roses

Quand remarqueras-tu mes envies

De t’aimer jusque plus avoir vie

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